18.12.16

À quelques larmes du bonheur



 Nous croyons que si nous pouvions seulement apprendre comment éviter la douleur nous serions alors heureux. C’est le malentendu innocent et naïf que nous avons tous en nous et qui nous maintient malheureux. 
- Pema Chödrön

Vous pouvez voir à gauche un endroit où je marche souvent. C’est un chemin à Ubud, dans un secteur qui s’appelle Penestanan (à mon avis, le quartier idéal où rester ici, car c’est proche de l’action, mais paisible).

Quand je marche sur ce chemin, je me sens souvent comme si j’étais dans un petit paradis. La végétation est ultra luxuriante, et on peut admirer quelques rizières à droite tout en marchant. Puisque le chemin est surélevé (il y a une dénivellation de plusieurs mètres du côté des rizières), ça rend la vue encore plus spéciale. Oh, et il y a une sorte de rigole qui coule en-dessous et à côté du béton, comme vous pouvez le voir, donc ça produit un joli son.

Il y a un mois et demi, je marchais au même endroit, et voici ce que je voyais : un chemin de béton en décrépitude, trop étroit et dangereux (à cause de la fosse de plusieurs mètres), avec un cours d’eau sale et souvent malodorant à côté. En fait, à ce moment, à peu près tout ce que je voyais ici me semblait laid et repoussant.

Mon expérience a donc changé radicalement. Que s’est-il passé?

Ce n’est pas que j’ai choisi d’être «positive». Je n’ai pas essayé de me convaincre de «focaliser sur les beaux côtés». Et je n’ai pas fait une liste de gratitude. Non, c’est tout le contraire, en fait… Mon attitude s’est améliorée parce que j’ai accepté de plonger dans la noirceur qui m’habitait.



Je ne sais pas si vous traversez présentement une phase où vous êtes plutôt négatif, rempli de jugements de toutes sortes. Ou sans être ultra négatif, peut-être sentez-vous au fond de vous, sous la surface, une désapprobation subtile mais constante de vous-même et de ce qui se présente à vous?

Voyant cela, peut-être essayez-vous de vous entraîner à changer de perspective. Oui, peut-être essayez-vous d’entretenir des pensées plus positives, plus ensoleillées. Et probablement remarquez-vous que ça ne fonctionne pas tout à fait… ou du moins, jamais pour très longtemps.

Il arrive que notre négativité soit causée par une simple «mollesse». Quand c’est le cas, on n’a qu’à se ressaisir, à rediriger notre attention sur les aspects positifs, et voilà! Mais parfois, nos pensées noires n’ont rien à voir avec nos pensées, si je peux dire. Elles sont la manifestation d’un mal-être étouffé qui rejaillit de tous bords, tous côtés – incluant dans notre esprit – pour attirer notre attention. Dans mon cas, comme je l’ai déjà mentionné, mon séjour à Bali a fait remonter à la surface une sorte de mal-être bien enfoui. C’est ce qui teintait ma perception. Et quand on est dans un tel état, on peut essayer de cultiver les plus belles pensées possibles, mais c’est l’équivalent de mettre un filtre rose par-dessus un gros filtre gris. Ça ne change à peu près rien. En fait, non, ça bloque la lumière encore davantage.

On aime tous le bien-être, l’allégresse… et on veut bien sûr se sentir léger le plus rapidement possible. Mais le paradoxe est qu’on ne s’allège généralement pas en essayant de s’alléger, mais en rencontrant ce qui nous pèse. Si souvent, la seule chose qu’on ait à faire pour défaire un gros nœud de négativité est de se permettre de ressentir l’émotion derrière et de pleurer, afin que l’énergie puisse circuler et s’en aller. Le moindre petit mouvement courageux vers cette lourdeur sera toujours infiniment plus puissant que mille tentatives d’améliorer nos pensées.

Être rempli de soleil et de positivité est notre état naturel. On n’a pas à ajouter de la joie à notre vie… La joie est l’essence de ce qu’on est. On est appelés plutôt à laisser aller ce qui l’étouffe. Oui, on est appelés à aller chercher les monstres qu’on a cachés dans le sous-sol et à leur redonner leur liberté, afin qu’ils puissent enfin s’en aller. Oh, ça demande parfois un courage infini. Mais tout doucement, sans forcer, le filtre devient ainsi de moins en moins gris. Et un beau jour, on se surprend à regarder notre chemin imparfait, dangereux, un peu décrépit et à lui trouver des petits airs de paradis.

Bon mardi!


13.12.16

28.11.16

Extrait D’un Des Livres À Venir, Échange Entre Christel Seval Et Franck Lopvet.

[ORDONNER À LA MATIÈRE] Oui, cette notion de gratitude, il faut bien la comprendre. La gratitude face à la vie, il ne s’agit pas de la « jouer » ! Comment allez-vous faire pour faire « semblant » d’avoir de la gratitude pour un truc que vous savez qui n’est pas encore là ? Si l’on considère la Déesse, ou Dieu, c’est-à-dire Gaia ou l’Unité, on comprend que le TOUT est une « créance » énergétique, une source d’énergie nous permettant de transformer cette énergie en quoi que l’on désire. La nature de Gaia est d’être une réserve énergétique qui se prête à tous les jeux que l’on veut dans le monde relatif. C’est une énergie de base qui est fournie, l’énergie de base nécessaire à devenir la forme que l’on souhaite voir apparaître dans la Vie. Lorsqu’on observe une Ferrari, – puisque c’est toujours le sujet dans la loi d’attraction : comment obtenir une piscine et une Ferrari en 48 heures chrono – quand on observe une Ferrari, on observe en fait Gaia ayant pris une forme. On observe de l’énergie pure s’étant transformée en quelque chose de dense, et qui prend la forme de ce que l’on souhaite. Face à cet être immense, cette conscience, qui veut bien me donner la chance et l’opportunité de la transformer en ce que je veux pour mon plus grand bien-être, quelle est l’attitude la plus empreinte de gratitude que je puisse avoir face à ce cadeau qu’est la vie ou l’énergie de la Déesse, ou Dieu,  souhaitant me faire cadeau de sa nature, l’énergie, afin que je fasse ce je veux avec pour en jouir ? On a longtemps cru que la bonne position vis-à-vis de ce cadeau incroyable qu’est la vie, ou l’opportunité de créer ce qu’on voulait, c’était une espèce de déférence, de position humble pleine de prières et de supplications face à quelque chose de plus grand, et qu’il convenait d’apprendre à prier correctement pour obtenir ce que l’on veut. Mais là, je m’inscris en faux,, il ne s’agit pas de « prier » la Vie avec le bon ton et d’utiliser les bons mots pour que ça plaise à Dieu et qu’Il nous envoie notre « cadeau ». L’amour de Dieu ou de la Déesse est tellement « grand » que notre façon de pouvoir répondre positivement à cette offre-là est de se mettre à ORDONNER la matière. C’est quand on va utiliser NOTRE POUVOIR, en ordonnant la matière avec notre vibrante volonté, en désirant, en tordant l’énergie de façon à ce qu’elle prenne la forme de ce que l’on veut, que l’on sera dans l’attitude de gratitude face à ce cadeau. Ce n’est pas en le prenant avec inquiétude, le cul serré dans une position bien-pensante de petit curé, en suppliant de la bonne façon, qu’on aura une attitude de gratitude face à ce cadeau. Ce cadeau est un véritable cadeau, il n’implique pas la moindre « bonne attitude » en retour, il n’implique pas qu’on y aille avec une obséquieuse déférence qui va dire « merveilleux, on m’a fait un cadeau, mais je ne vais pas l’utiliser, pas trop forcer ». Le cadeau de la Vie est gratuit, Dieu est d’une telle largesse, immensité, grandeur, qu’Il nous laisse toute latitude de dire à la matière : « prends la forme que je veux », « DEVIENS CE QUE JE VEUX », car il n’y a pas la moindre RETENUE dans ce cadeau de Dieu. Le cadeau n’est pas piégé, il n’y a pas à y aller avec des pincettes, à y aller avec le « bon » rituel en mettant la « bonne » robe, en faisant le « bon » sacrifice au « bon » moment, dans la « bonne » église. Dieu se contrefout de ces rituels à la con ! Ce qui est « sacré », c’est notre pouvoir, ce qui est sacré c’est que nous sommes à son image, et nous n’avons pas à ramper pour obtenir ce que l’homme « mérite ». Notre cadeau de droit divin c’est le droit d’ordonner la matière, c’est le droit de dire à la matière : « deviens ce que je veux que tu deviennes pour mon plaisir ». Et la véritable gratitude face au cadeau qu’est la Vie, face au cadeau qui est Dieu, c’est de ne pas DOUTER de l’immensité de ce cadeau, de la gratuité de ce cadeau, c’est d’arrêter de prêter à Dieu la mesquinerie de l’humain, d’arrêter de prêter à Dieu les paramètres mesquins de cet humain qui, lorsqu’il donne, implique que l’autre doive avoir une attitude en regard. Quand on offre quelque chose, on  l’offre gratuitement, les gens ne doivent pas être reconnaissants, ils ne doivent pas forcément utiliser notre cadeau, et l’utiliser à bon escient. Imaginez qu’on vous offre un cadeau et que vous puissiez dire : « ah berk ! Je n’aime pas » et le jeter à la poubelle. Là, ce serait véritablement un cadeau. Car on vous aurait offert quelque chose dont vous faites « Ce Que Vous Voulez » ! Voilà quels sont les cadeaux de Dieu, de la Vie. Quand Dieu offre, on a le droit de prendre ce qu’Il offre et de le jeter, on a le droit de le tordre, de l’ordonner. Dieu ne se prie pas, Il s’incarne !

Page d'origine : http://monteban.me/unhommedebout/2016/10/04/extrait-dun-des-livres-a-venir-echange-entre-christel-seval-et-franck-lopvet/

20.11.16

Ode à l'Amour (c'est qui, Oda?)


Ô Amour, 
Tu as révélé par Ta présence si pleine, si constante, en tous lieux, en tous temps que j'ai cru n'être pleinement Toi. 
Et pourtant Tu es toujours là. 
Dans chaque acte de ma vie, dans chaque cellule de mon corps, à travers chaque pensée. 
Même si j'ai pu me sentir seul, Tu ne m'as jamais lâché. 
Toujours présent dans chacune de mes respirations, dans chaque expérience, dans chaque particule de ma vie. 
Ma vie est Toi en réalité.
Je suis, nous sommes ; Tu es. La Seule Substance, l'Unique Réalité.


17.11.16

Citation - Isabelle Padovani


"L'Autre n'est pas là pour m'aimer : Il existe pour me permettre de découvrir l'Amour que je suis."


Pour mieux comprendre, lire le commentaire de l'auteure ici : https://plus.google.com/u/0/+IsabellePadovani/posts/29NvfxCo63S

14.10.16

Accueillir une Emotion

Trouvé ici : https://plus.google.com/+IsabellePadovani/posts/NHUB7T8deVC :)


ACCUEILLIR UNE EMOTION


Je ne suis pas une émotion "négative",

je suis ton émotion du moment.


Je suis cette vague qui parcourt ton corps, te serre et t'étreint.

Je suis ton émotion.


Je suis là car j'ai un message pour toi.

Ne m'écoute pas pour que je disparaisse, pour que je change.

Ecoute-moi tout simplement.

Quand tu m'écoutes n'attends pas que je change.

Ecoute-moi tout doucement.


Je suis ton émotion.

Il se peut que ça fasse mal, que ça brûle, que ça serre.

Mais ce qui compte vraiment, ce que j'aimerais que tu entendes,

c'est que j'ai un cadeau pour toi.


Je suis à la mesure de ta soif de vivre, de tes aspirations,

du monde dans lequel tu aspires à vivre.

Je suis à la mesure de l'intensité de ton rêve.

Je suis comme la mer quand elle reflète le ciel ou quand elle reflète ton visage.


Ecoute-moi ou plutôt à travers moi écoute le cadeau que tu es d'avoir soif,

d'être habité par ce torrent de vie qui veut jaillir à travers toi.

Ecoute-toi et écoute ce que tu aspires à vivre à partir de maintenant.

Et je me calmerai tout simplement quand tu auras rencontré

ce qui est beau, vivant et vibrant en toi.

Car je ne demeure jamais la même, je bouge, je change, j'évolue.



Signé : Ton émotion du moment...


Françoise Keller

Formatrice certifiée du Centre pour la Communication NonViolente

http://www.concertience.fr/

4.4.16

Amour

L'Amour...^^ Comme tout le monde en parle et que tout le monde va en parler de plus en plus jusqu'à ce que les paroles se noient dans ce qu'il est vraiment ; je me suis dit : pourquoi ne pas y mettre ma goutte d'eau ? :) comme le colibri :)

En général, on ne parle jamais d'amour, mais de passion. Il me semble que nous nous en rendons compte quand nous arrivons sur Terre. Ceux qui vivent l'amour n'en parlent plus, ou ne savent pas en parler, car cela dépasse les mots.

Une expérience personnelle : quand un suicide s'est produit dans mon entourage proche et que je n'ai eu d'autre réaction que de l'accepter (quelque-chose comme : "tu fais comme tu veux, c'est ton choix, je le respecte totalement") après bien-sûr un minimum de colère et de la sidération ; je me suis dit : "je l'aimais bien... mais l'ai-je bien aimé ?"
La réponse est oui évidemment. Comment peut-on ne pas aimer quelqu'un ou s'aimer soi ? Ce serait simplement ne pas se reconnaître Amour, mais l'Amour est là quoi qu'on en pense. En général, l'Amour ne se dit pas, il est.
--> lire ici ou sur l'Amour que l'on est.
Par contre, j'ai réalisé que je l'aimais vraiment en le laissant faire ce qu'il voulait, en le laissant être Qui il est, en lui permettant d'être lui.
Je nous invite à moins de dires, moins d'apparences, que d'être présence tout simplement. Autrement dit, être soi, ni plus ni moins.

Souvent, on parle de passion, d'attachement etc. Mais très peu d'amour.
"Il faut accepter ses défauts et ceux de l'autre ou des autres. On doit..." Stop.
Il n'y a rien qu'il faille. Absolument rien. Si c'est un effort, c'est qu'il a mieux pour vous, une meilleure version de vous,  c'est que vous êtes en chemin de vous reconnaître, quoique les rencontres et les situations que vous vivez vous servent à avancer, à évoluer vers vous-m'aime.

Falloir, devoir, c'est réduire, c'est enfermer. Nous le sentons bien quand nous nous croyons "obligés de". Nous nous croyons bien petits.

Falloir, c'est faillir également. A soi, à l'autre, aux autres ; se modifier etc.*
Cela intéresse-t-il vraiment quelqu'un ? Je vous le demande.
Oui, cela intéresse la personne, la personnalité (dans le sens réduit et falsifié du terme), l'ego. Mais regardons-nous bien. Qui l'on est se fout totalement de ces convenances, de ces diktats, de cette passion.
C'est parce que l'on est aimant, dans les deux sens du terme. On aime et l'on est aimé. Pourquoi est-on aimant ? Parce que l'on est amour, parce que l'on se reconnaît comme amour. Puis, évidemment, l'amour se reconnaît lui-même.
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=202424380532885&id=100022959739165

Quand on aime, on n'attache pas, on ne réduit pas, on ne nomme pas j'oserais dire ; on Est.

On le sent bien quand on est petit que l' "amour" que l'on nous vend n'a rien à voir avec la Vie. Ce sont des synonymes, en principe. Mais bon, de quelle vie et de quel amour parle-t-on ?

Imaginez-vous enfants.

Ah ? Il faut que je fasse ceci, il faut que je fasse cela ? Que je sois comme ceci, comme cela ? Que je fasse plaisir afin d'obtenir ceci ou cela ?
C'est du marchandage. Quel rapport avec la Vie ?
Le rapport, c'est que ça peut être marrant (comme un jeu de société, littéralement)... jusqu'au moment où cela ne nous intéresse plus.

Nous le sentons bien, quand on est petit... On ne veut pas se modifier (quel réel intérêt pour soi et pour le monde ?). On veut jouer, être libre, s'exprimer, s'épanouir. Vivre, être, tout simplement. Autant de rayons de l'Amour.

Il n'y a pas de critique ou de jugement là-dedans : ce qui compte, c'est d'être clair avec soi-même. Veut-on évoluer en se modelant, en se modulant à je ne sais quelle(s) croyance(s) collective(s) ; ou veut-on la liberté, la paix, la joie etc.

En réalité, il ne s'agit pas de la vouloir -- elle est là -- il s'agit de la reconnaître et de la laisser œuvrer.

Cette liberté, bien plus grande que nous, est également la nôtre. C'est la liberté de laisser l'ego de côté et de se révéler à notre propre Liberté. C'est pour cela qu'il n'y a pas de réel libre arbitre quand on vit Libre. Il n'y a plus rien à arbitrer puisque la Liberté c'est nous. Encore un fois, que veut-on vraiment ? La question est essentielle.

En général, on ne refuse pas l'Amour. Comment l'Amour pourrait-il se refuser à lui-même ? Ce sont les passions que l'on refuse, et qui deviennent inintéressantes au bout d'un moment. L'attachement, les compromis..., ceux-là en général, on est toujours d'accord pour les refuser. ;)
Pour l'Amour, c'est pareil : il est toujours d'accord avec lui-même pour se vivre. Il n'y a rien à faire, rien à forcer. Etre, tout simplement.

Pour conclure, souvenons-nous que si parler d'Amour ressemble à une personnification (au passage, tous les mots sont des personnifications), c'est parce qu'il ne s'agit de rien d'autre que de nous, de Qui l'on est réellement. :)

*Bien sûr, il n'y a rien qu'il ne faille pas non plus, mais c'est pour saisir la nuance entre ce que l'on a pu croire amour et ce qu'il semble être réellement.


Nous sommes notre propre Idée-AL!

Edit : "Le sentiment amoureux est-il compatible avec la paix intérieure ?" par Isabelle Padovani
Plus particulièrement sur le couple : Du couple humain au Couple Divin... par Yvan Poirier :) ou A propos des Flammes Jumelles par Isabelle Padovani.

23.3.16

Loi d'attraction


Un commentaire de GUIDANCE TV sur YT :

BRAVO! Enfin quelqu'un qui a compris. Les lois d'attractions qui fonctionnent sont les choses qui font parties du chemin de vie de la personne. A l'inverse, celles qui ne fonctionnent pas sont celles qui ne font pas parties de notre chemin d'incarnation. Point Final. C'est aussi simple que ça. Alors oui, évidemment qu'un nettoyage énergétique favorisant le ré-alignement corps/âme/esprit permet à la personne de plus facilement percevoir ce qui est fait pour elle dans son incarnation, car l'information re-circule à nouveau plus librement. Un humain aligné est un humain visionnaire de ce qu'il a à faire ici dans ce monde. Rien d'autre. Nous ne pouvons pas créer ce que l'on veut comme on le veut, mais nous pouvons nous souvenir de ce que nous sommes venus créer. Ce qui est très différent. Et un humain qui a le regard tourné vers ce qu'il a à faire est un humain qui a l'impression que tout lui réussit car ce regard est dans la bonne direction. Donc il ne souffre plus d'un décalage entre ses souhaits et la concrétisation de ces derniers. Puisque qu'il ne fait que souhaiter ce qui est prévu pour lui. C'est tout. BRAVO encore à Yannick qui est une des rares personnes à avoir mis le doigt sur la pièce du Puzzle manquante. Et MILLE MERCI à Anthony pour son merveilleux travail ;-)

3.3.16

Prendre sa place




Si chaque UN prend sa place, TOUT s'organise naturellement.

L’attente ou la volonté du changement ?

L'attente

  *

L’être humain espère le meilleur mais ne met pas toujours en place son propre changement pour cela. L’attente extérieure est souvent sa motivation. Il attend souvent une aide extérieure et ne s’implique pas dans sa propre progression. Il attend aussi de la lumière qu’elle créée le nouveau monde, qu’elle change en lui ce qui l’empêche d’avancer, qu’elle le libère. Ainsi, aucun élan n’est donné à ses rêves et à sa propre transformation. Il invoque souvent la lumière plutôt qu’il n’élargit son regard pour voir enfin le reflet de son illusion dans la vie qui l’entoure.

Il a en lui une volonté intellectuelle de comprendre, d’assimiler toutes sortes d’informations mais il n’applique pas toujours ce qu’il sait. Il laisse la connaissance au niveau de son intellect. Il s’en nourrit grâce au mental qui l’abreuve de celle-ci et ne la descend pas au niveau du cœur pour la vivre et s’accomplir. Il est souvent dans l’incapacité de reconnaitre sa propre responsabilité dans ce qu’il voit autour de lui et dans ce qu’il vit. Il n’accepte pas le reflet que lui renvoie l’humanité. Il reste séparé de celui-ci.

L’œuvre de lumière à construire débute en soi et non à l’extérieur de soi, ça nous le savons tous. Pourtant il reste encore une longue tâche d’acceptation à établir dans nos cœurs. Chaque être doit établir la volonté du changement en discernant les rouages de l’ego afin d’agir pour une transformation durable mais aussi pour purifier les mémoires qui le retiennent dans l’illusion. Il désire prendre part au grand changement actuel et ce n’est pas en recherchant des béquilles hors de lui qu’il l’établira en lui. Les limites posées par l’ego ôtent la vision claire et simple de ce qui est. L’être s’ancre ainsi dans ses croyances illusoires qui limitent sa progression.

La peur de s’ouvrir aussi à ses propres blessures et traumatismes lui ferme la porte de la libération. Il en ressort un manque de volonté individuelle pour accomplir l’œuvre libératrice et pour s’ouvrir à ses propres blessures. L’être s’en remet alors à l’extérieur, attendant de la vie, la clé qui le transformera ou le soulagera de ses maux. Il attend souvent de l’autre qu’il se transforme à sa place car il n’entre pas dans l’acceptation de ses propres créations. Il n’accepte pas d’être le créateur de ce qu’il vit, de ce qu’il attire à lui. Pourtant tout est fait pour le mettre face à lui-même. Il joue le rôle de sa vie inconsciemment la plupart du temps.

L’attente est un arrêt sur notre chemin de vie. Elle peut durer longtemps, toute une vie et même plus… Or aujourd’hui, alors que la lumière inonde de sa puissance vibratoire chaque zone d’ombre, la volonté en chacun doit se mettre en place. Elle permettra ainsi d’aller vers la libération intérieure et donnera l’élan aux projets par la foi qui activera l’énergie du cœur.

Le temps de se sentir victime des autres et de la vie est maintenant terminé. Le temps de l’attente également. La volonté d’avancement est un axe qui peut tout changer lorsque le regard se pose en soi pour voir et ne pas juger, pour accepter les expériences, pour ouvrir sa conscience à sa propre création de vie en s’impliquant totalement dans le rôle de l’énergie universelle qui active la transformation.

Pour trouver les failles et les blocages, il suffit de regarder en soi.
Pour avancer, il suffit de les accepter.
Pour se libérer, il suffit de se pardonner. Elles sont ainsi purifiées par amour.

Rien ni personne d’extérieur à nous-mêmes ne peut agir pour une transformation durable. Chaque être est seul face à lui-même, seul à pouvoir se libérer de la dualité et de ses souffrances en s’ouvrant à la rigueur et à la volonté, en prenant sa propre responsabilité dans ce qu’il vit. Les autres personnes ne sont pas responsables des situations que nous attirons. Ce que nous voyons à l’extérieur de nous est bien notre reflet. La tristesse de notre monde est notre tristesse. La violence également. L’illusion aussi. Le reflet de qui nous sommes se répercute à l’extérieur de nous et l’énergie nous renvoie celui-ci afin que nous voyions ce que nous avons à modifier, à transformer en lumière. Pour œuvrer vers un changement durable sur Terre, nous devons œuvrer en nous et comprendre que tout reflet extérieur négatif nous apporte l’opportunité de grandir.

La lumière est notre phare mais elle ne fait pas tout. Nous avons à accepter nos propres expériences duelles et leurs mémoires pour nous placer dans l’axe de la transformation. S’il n’y a pas d’acceptation, il n’y a pas non plus de libération.

Pour aider le monde à se relever, il est nécessaire d’entrer dans la compréhension du rôle de l’énergie de lumière qui se déverse autour de nous et en nous. Comprendre et y entrer avec volonté et rigueur, mais avec simplicité aussi. Élargir également sa conscience pour la rapprocher de celle du Tout. Chaque être a sa propre tâche à effectuer et il est temps de s’impliquer avec amour et discernement.

Nous ne devons rien attendre mais tout espérer de la vie et de nous-mêmes.

Mirena, le 1er Septembre 2015
Vous pouvez partager ce texte à condition de le faire dans son intégralité, y compris ces deux phrases, et en faisant référence au site : www.audeladesmots.org

Source http://audeladesmots.org/?p=4555

27.2.16

Lâcher prise

Pète un coup, t'es tout pâle ! *


*expression usuelle picarde, ch'tie et chtimie

26.2.16

“Tout est possible” ou “rien n’est impossible” Explication

Du moment que l'on a l'idée de ce qui ne peut pas être, c'est que cette idée existait déjà quelque part. Elle s'est créée en amont avant de se manifester à nous.
En effet, si dans l'univers "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" -- merci Lavoisier -- c'est donc par transformation, disons d'un "potentiel créatif", que cette idée s'est créée. Celle-ci préexistait, comme tous les possibles imaginables.
Ainsi, tout est ; ou rien ne peut ne pas être. De manière plus juste que "rien n'est impossible", nous pourrions dire : "rien est impossible". Car nommer le rien, c'est le créer.*

Cependant, ça n'est pas parce qu'une chose ne se réalise pas qu'elle n'existe pas. Elle n'est simplement pas appropriée à nous (et à tout) en cet instant et en ce lieu. Ce n'est pas le moment pour elle de se manifester. On l'ignore peut-être, mais ce qui doit être est en cours de réalisation, ou ce qui doit être sera. Cependant, nous avons inventé passé et futur afin de nous ramener au présent, à la seule réalité. Trouvez-vous seulement un commencement et une fin à ce présent ? C'est ainsi que ce qui doit être est. --> troisième présupposé .

Aussi, cela peut être parce que l'on pas eu l'idée de certaines choses que l'on ne les constate pas, et que l'on ne les constatera peut-être jamais. Cette idée ne nous est pas arrivée car elle ne nous est pas nécessaire pour le moment. On parle de changer de monde, de paradigme etc. Il est clair que cela ne passera pas par ceux qui n'en ont point l'idée. Avant cela, il faut avoir compris que le "monde", c'est nous ; ça n'est pas "la Terre" ou "les autres". Vous comprenez ici que "l'idée" n'est pas un concept rationnel ou mental, mais ce qui sous-tend chacune de nos actions. Tout change, qu'on le sache ou pas, et qu'on le veuille ou non. Il semble qu'on le veuille, car cette idée nous est arrivée, et que vous êtes en train de lire ce texte. ;)

Reprenons le fil... En général, lorsque quelque chose ne se réalise pas, ce qui arrive est plus approprié que ce que l'on prédéfinissait. C'est comme si -- lorsque l'on n'obtient pas ce que l'on décide -- ce que l'on demandait n'était pas opportun, pas approprié, et de ce fait, que l'on ne demandait pas réellement.
Et si cela n'est pas opportun, c'est avant tout parce que, au moment de la demande, on n'était pas complètement nous-mêmes, ou pas pleinement en possession (en conscience) de nos moyens. Cela donne des phrases comme "demander avec le cœur, pas avec la tête", ou "être aligné" corps-âme-esprit, ou encore Corps-Cœur-Conscience (merci Ozalee).
Par  exemple, je ne pensais pas écrire cet article. Une idée arrive par le cœur, suivie de l'idée de prendre un stylo et une feuille pour l'écrire. Je la formule ensuite par l'esprit (ou le cerveau), et la rédige par le corps -- bien que je ne comptais pas écrire à priori. (bien-sûr, avant de rédiger cet exemple, l'idée m'est venue de prendre ce moment même pour exemple :) et ainsi de suite...jusqu'à l'origine ;) ).
On pourrait aussi dire que l'idée est créée par le "potentiel créatif" initial ou l'Esprit, puis passe par l'âme et est enfin matérialisée par le mental (l'esprit au niveau physique) et le corps. Idées et pensées sont donc complémentaires dès lors que l'on sait les reconnaître. L'idéal étant que les deux fusionnent en l'idée (ou l'Esprit), afin que nos choix s'accordent à nos souhaits.


En bref, notre pouvoir créateur est un pouvoir de transformation, de l'abstrait au concret (ou inversement selon le point de vue). Par définition, l'abstrait englobe tous les possibles. Et c'est par nos actions que nous le matérialisons sur Terre.
Tout est réalisable = tout reste à réaliser. Je dirais même que le titre de cet article n'existerait pas et ne serait pas connu de tous, si l'idée à laquelle il renvoie était irréelle. Si cette idée fait rêver, c'est à chacun de la concrétiser. Encore une fois, il n'y a aucune obligation de qui que ce soit, pas même celle d'être conscient de ce processus. :)


*rien : du latin rem, accusatif de res, "chose"                                                          

Tout est possible = La vie ne se limite pas

Marianne pour http://sylvaindidelot.com/2017/01/24/st-germain-10-janvier-2017/
http://sylvaindidelot.com/http://sylvaindidelot.com/conferences/

22.2.16

ANAËL - 31 octobre 2009

Question : vous aviez précisé que certains d'entre nous, au moment de l'Ascension, deviendraient des Gardiens mais des Gardiens de quoi, de qui ?
Les gardiens, par définition, bien aimée, sont des êtres qui se retrouvent au sein des dimensions intraTerrestres. Étant donnée la décision récente de la Source de couper court, si l'on peut dire, à l'expérience de la troisième dimension dissociée, le peuple des Gardiens sera ceux qui seront capables de gérer les Vibrations existant au sein des systèmes intra-planétaires afin de permettre l'expansion de la Vie au sein de la troisième Dimension qui s'appellera, cette fois-ci, « unifiée ». Il n'y aura donc pas de séparation, à proprement parler, entre vos Gardiens et ceux que vous avez aujourd'hui, que cela soit les peuples humanoïdes ou non humanoïdes. Il n'y aura plus de séparation par rapport à ces Gardiens. Votre devenir, en fonction de votre Ascension, est, bien évidemment, différente selon votre origine stellaire, selon votre Source et selon votre fonction. Ainsi, chacun ira son chemin, chacun ira sa maison et assumera les fonctions qui sont les siennes. Donc les peuples qui sont appelés intraTerrestres, Gardiens, seront les Gardiens d'une Vie de surface appelée troisième dimension, là aussi, mais non séparée.

Question : est-il important de connaître notre origine stellaire ?
Cela l'est. Mais la Révélation, bien aimé, ne se fait qu'au moment opportun, au moment adéquat. Vous avez tous une filiation stellaire. Vous avez tous Quatre filiations spirituelles qui peuvent se mêler, ou se différencier, avec votre origine stellaire. Néanmoins, ceci ne m'est pas permis au niveau de la Révélation. Ceci est une Révélation qui survient au décours de votre chemin, à un moment précis et à un moment choisi, qui correspond à un octave vibratoire que vous atteignez et qui permet cette Révélation. La Révélation de votre filiation stellaire, la Révélation de vos filiations spirituelles ancre, en vous, la nouvelle Vie et la nouvelle Dimension. Néanmoins, il n'y a pas de curiosité à avoir, au sens intellectuel. Vous révéler que vous appartenez à telle lignée ou que l'une de vos lignées est celle-ci, ne vous apportera pas grand chose tant que vous n'en vivrez pas la Révélation vibratoire. Il n'y a donc pas moyen de dévoiler, autrement que par vous-mêmes, ce que vous êtes, au niveau de votre Essence stellaire ou de vos filiations spirituelles.

Question : pourquoi ai-je toujours peur des serpents et suis-je troublée en entendant parler de cerveau reptilien ?
Bien aimée, cela est inscrit au plus profond de cette mémoire cellulaire qui est ton corps que tu habites aujourd'hui. En effet, vous gardez tous, enfouie plus au moins profondément, cette notion de peur des reptiles. D'où vient-elle ? Elle vient, bien évidemment, de votre chute initiale au sein de cette Dimension, voulue et occasionnée par les Démiurges et par les peuples Reptiliens. Néanmoins, il vous faut comprendre que, bien avant ce phénomène de rébellion, si l'on peut appeler cela ainsi, les peuples Reptiliens et en particulier ceux que vous appelez les Dragons, étaient des peuples extrêmement évolués, bien plus que ce que vous êtes aujourd'hui, au delà même de votre Dimension stellaire. Les peuples appelés Dragons étaient des Maîtres généticiens, de la même façon que les êtres venant de Sirius, et en particulier les peuples Delphinoïdes. Ces deux peuples ont été à l'origine de multiples expériences au sein des multi-univers et des multi-dimensions. Ils ont permis le déploiement de la Vie dans de nombreuses dimensions et dans de nombreuses directions, jusqu'au moment où certains des Dragons, imbus de leur pouvoir, ont décidé de créer une matrice séparée, en partie, de la Source. Ainsi, il y a donc écrit, en vous, quelle que soit votre origine stellaire, quels que soient vos filiations ou vos piliers spirituels, quelque part inscrit en vous, cette peur. Néanmoins, il vous faut admettre que certains d'entre vous possèdent des piliers ou des filiations spirituelles en relation avec ces lignées.

Question : en quoi consiste le Service, aujourd'hui ?
Bien aimé, il faut comprendre le sens de ce mot « Service ». Servir, c'est quoi ? Servir peut se concevoir comme un don de Soi. Mais il est important de discriminer : à qui donnez-vous ? Quels sont vos serviteurs ? Vous avez été crées au sein de cette Dimension afin de servir vos Dieux. Néanmoins, ceci est une Illusion. Le Service n'est pas l'Amour. Le rayonnement n'est pas le Service. Le rayonnement est un état d'Être. Il vous faut passer du Service en l'Être. Et quand vous êtes dans l'Être, à ce moment-là, vous servez naturellement. Mais si vous servez sans connaître l'Être que vous êtes, à ce moment-là, vous rentrez dans une relation de dépendance qui n'est pas une libération. Les mots sont utilisés souvent à double face. Cette notion de double face est extrêmement fréquente dans tous les enseignements spirituels. La façon la plus importante, pour l'être humain, est de vous faire croire que vous œuvrez à votre libération dans le sens du Service. La Bhakti Yoga, ainsi que c'est appelé en Orient, vous est, entre guillemets, proposée ou vendue comme étant un moyen d'accéder à l'Illumination. Cela est en partie vrai et en partie faux. Vous pouvez passer des vies entières au Service d'une cause, au Service d'une chapelle, au Service d'une filiation, sans pour autant arriver à l'Illumination. Ainsi donc, il y a du vrai et il y a du faux. Néanmoins, à partir du moment où vous découvrez votre dimension fondamentale d'Être multidimensionnel, à partir du moment où vous vous connectez ou vous reconnectez à votre dimension stellaire, à partir du moment où vous activez en vous les filiations spirituelles, vous êtes obligatoirement dans le Service, mais ce Service n'a pas la même forme que le Service qui vous est imposé, où l'on vous demande, où on espère vous faire trouver l'Illumination par le Service. Ainsi, il faut bien comprendre qu'il existe plusieurs services et les forces des méchants garçons jouent toujours sur cette notion de dualité des mots. Les exemples sont fort nombreux. Ainsi, par exemple, quand vous parlez des United Nations, en anglais, U.N., 1, c'est une parodie, bien évidemment, de l'Unité. Le Nouvel Ordre Mondial étant une parodie de l'Unité, les forces de la séparation, de la dichotomie, qui vous précipitent au sein de cette Dimension, ont toujours inversé les processus, quels qu'ils soient. Ainsi donc, le mot Service qui, dans l'Esprit humain, est un sens noble de dévouement, de don de Soi, se trouve falsifié dans le sens de serviteur, ce qui n'est pas tout à fait la même chose, vous l'avouerez. Ainsi, vous pouvez adhérer à des enseignements liés, par exemple, à ce que vous appelez certaines loges officielles et, en adhérant à ces loges, vous vous mettez au Service de cette loge. Mais cette loge elle-même, qui sert-elle ? La question est fondamentale. Qu'est-ce qui vous démontre, au delà des mots et au delà des conceptions ou des philosophies mises en œuvre et en avant, que l'énergie que vous fournissez, dans le sens du Service à ces loges, va servir la Source ? La Source ne vous demande rien. La Source vous demande d'Être en Unité. Et, à partir du moment où vous réalisez l'Unité, le Service s'établit spontanément, sans effort, sans volonté aucune, ce qui est, avouez-le, profondément différent du sens du Service tel qu'il vous est proposé, pour ne pas dire vendu, par certains enseignements.

Question : si l'Unité peut amener l'abondance, l'abondance peut amener vers l'Unité ?
Bien aimé, chaque chemin est différent et tu comprendras nécessairement que l'abondance est différente selon le vécu de chacun. Certains êtres sont dans l'abondance et trouvent l'Unité dans l'abondance. Certains autres êtres vont trouver, à travers la privation, et donc le manque d'abondance, l'Unité. Il n'y a pas de règle absolue. L'abondance ne peut pas conduire systématiquement à l'Unité. L'abondance peut parfois conduire à la dualité et à la séparation. Il n'y a pas de règle absolue. L'abondance fait partie de l'Unité, par contre. Mais de quelle abondance parlons-nous ? L'abondance matérielle n'est pas l'abondance spirituelle. L'abondance spirituelle est, non pas pauvreté, mais satisfaire ses besoins selon l'Intelligence de la Lumière et non pas selon sa propre volonté. Pour un être, l'abondance peut être simplement d'avoir à manger chaque jour. Pour un autre, l'abondance peut être de pouvoir se déplacer à volonté dans telle ou telle voiture. Pour d'autres enfin, l'abondance consiste à avoir un compte bancaire bien garni. Pour certains êtres, cela va les rapprocher de l'Unité, et pour d'autres cela va les éloigner, aussi sûrement que des poids beaucoup plus graves, de leur Unité, et va les entraîner au sein de la dualité. Il n'y a donc pas, par rapport à l'abondance, de chemin unique. Chacun y réagit en fonction de ses propres impulsions et de ses propres vécus, aussi bien au niveau des incarnations qu'au niveau de l'âme. Néanmoins, l'abondance spirituelle n'a strictement rien à voir avec l'abondance matérielle, même si cette abondance spirituelle se traduit parfois dans la Vie par une abondance matérielle. Mais n'oubliez pas que, quand vous touchez et trouvez l'Unité en vous, l'abondance prend une importance toute relative par rapport à la notion de l'abondance de la Vibration et à l'abondance du vécu de l'Unité, qui est primordiale. À ce moment-là, le reste suit, et cela suit sans forcer, sans effort. Cela est toute la différence entre l'abondance que vous allez rechercher pour vous prémunir, pour vous préserver des inconvénients de la Vie. Cela est profondément différent de l'abondance qui se manifeste à partir du moment où vous avez trouvé l'Unité. Je vais prendre un exemple fort simple à comprendre : vous avez un problème à résoudre qui nécessite un investissement, une certaine somme de ce que vous appelez argent. Soit vous avez cet argent, soit vous ne l'avez pas. Si vous êtes dans la résistance, vous allez fournir des efforts, plus ou moins faciles, selon votre chemin, pour acquérir ce qu'il vous manque comme argent. L'Être qui vit dans l'Unité ne se pose pas cette question là. Il est dans l'abondance, spontanément, de par la reconnexion à sa Source. À ce moment-là, il émet une idée et l'abondance se manifestera, d'une façon, certes, fort différente au chemin qui est utilisé par celui qui utilise les voies de la dualité et donc de la résistance. Dans un cas, il y a résistance pour acquérir l'abondance, dans l'autre il y a abandon à l'abondance qui vient. Ceci n'a pas du tout la même connotation ni la même finalité, même si, au bout du compte, chacun arrive à son but. Mais il y a un cas où vous êtes arrivés dans le but en restant dans l'Unité, et dans l'autre cas vous vous êtes éloignés de l'Unité.

Question : qu'en est-il des personnes se mettant au Service pour des causes humanitaires ?
Bien aimé, les êtres qui s'engagent dans une action de Service, au sens humanitaire, au travers d'un certain nombre d'organisations, participent, de manière inexorable, malgré leur volonté, au maintien de la dualité. Il est fort différent d'apporter une aide sous forme alimentaire, sous forme de soins médicaux, ceci est une aide, ceci est un Service, mais ce Service maintient la dualité. L'important n'est pas de venir en aide, l'important est que l'autre s'aide soi-même. La seule façon de l'aider, en Vérité et en Unité, est de lui montrer une qualité de Vibration. Les méchants garçons ont parfaitement compris le principe de dualité, puisque c'est eux qui l'ont créée. Ayant crée ce principe de dualité, il fonctionne de cette façon dans tous les secteurs de la Vie. Qu'est-ce à dire ? Cela est très simple et vous allez comprendre bien rapidement. Imaginez que vous créiez un problème, il convient aussi d'en apporter la solution, après avoir laissé l'humain errer dans ce problème. Tout a été crée sur cette planète, aussi bien dans le monde industriel moderne que vous vivez, que depuis des temps fort anciens, par ces êtres-là. Il y a cette notion, au niveau de l'Homme, de bonté. Cette bonté, bien évidemment, veut se manifester au sein de l'humain par le fait de faire le bien. Mais faire le bien entraîne systématiquement le mal. De la même façon, vous devriez vous poser la question adéquate : comment expliquez-vous que, malgré la Loi de karma, les gens qui fassent le mal ne souffrent pas du mal ? Et l'on vous dit qu'ils souffriront dans une Vie future. Et si je vous dis qu'ils ne souffriront jamais du mal qu'ils ont fait ? Parce que, bien évidemment, eux, sont protégés de leur action / réaction. Maintenant, si vous faites le bien avec un sens d'Amour très profond, comme cela a été le cas pour certains êtres, et que vous apportez votre aide en tout dévouement et en tout Service, si je vous disais que vous allez entretenir et maintenir la dualité, qu'allez-vous me répondre ? Et pourtant, cela est Vérité. Le principal de l'aide n'est pas à fournir sur l'apport d'une médecine, d'un aliment, ou d'un médicament. L'apport le plus important à faire est dans la libération de l'enchaînement à la dualité, au bien et au mal. Ainsi, vous ne pouvez œuvrer dans le sens du Service le plus absolu à la Source qu'en étant vous-même dans l'Être et avant tout. Des êtres ont apporté, par le sens de leur sacrifice, un certain bien être à leur entourage, large ou plus restreint, selon que cela soit un Saint ou une Mère de famille qui s'est par exemple dévouée toute sa Vie pour ses enfants. Le sens du sacrifice n'est pas le sens de la libération. En vous sacrifiant, vous redevenez serviteur. En étant serviteur de l'autre, vous abandonnez votre maîtrise. Ce qui ne veut pas dire être totalement dans l'indifférence mais qu'il faut d'abord chercher le Royaume des Cieux et le reste suivra. À partir du moment où vous trouvez l'Unité (et aujourd'hui cela est de plus en plus vrai), vous serez obligatoirement dans la notion de Service. Cela est différent de compatir et de servir dans le sens d'une émotion, ou d'un affect, ou d'une croyance, ne croyez-vous pas ? Ainsi, la totalité des organismes humanitaires ayant été crées par les humains au sein de cette Humanité appartiennent aux mêmes forces que les forces du pouvoir qui vous gouvernent. Sans exception aucune.

Question : pourriez-vous nous parler de l'alphabet Inca de lettres de Feu et de son utilité ?
Les lettres de Feu de l'alphabet Inca sont directement reliées à l'alphabet Maya, à l'alphabet AcadoSumérien. C'est la même origine, bien évidemment, puisque les Viracochas qui ont visité les Incas et qui ont visité aussi avant les Mayas, ont la même origine. L'utilité est, aujourd'hui, de travailler avec vous-mêmes. Bien évidemment, les outils sont multiples. Ils sont nombreux. Vous utilisez ici les cristaux. L'eau peut être utilisée. Le chant peut être utilisé. Les alphabets sacrés peuvent être utilisés. Je vous engage, particulièrement en ce moment, et en fonction du déversement Vibratoire dont fait l'objet votre système Solaire, à vous relier à ce qui est le plus simple. L'enseignement n'est pas une transformation. La transformation est, par contre, enseignante. Il vous appartient de vivre la transformation et ceci peut être obtenu, ou en tout cas favorisé, par l'utilisation de certaines techniques, de certains protocoles. Mais, néanmoins et en définitive, la chose la plus importante est votre démarche d'ouverture de Cœur et elle n'a que faire des techniques, quelles qu'elles soient. Néanmoins, je conçois qu'au sein de la Conscience humaine, il soit nécessaire de respecter un certain nombre de rituels parce que cela est inscrit en vous.

Question : se nourrir exclusivement de prana est une évolution liée à l'Unité ?
Bien aimé, la première partie de la réponse, se nourrir de prana correspond à une maîtrise du prana. Elle correspond à l'évolution future de l'Humanité lors de sa Translation Dimensionnelle, puisque, dans les dimensions appelées cinquième Dimension et au-delà, il n'y a plus de nourriture au sens où vous l'entendez. Vous vous nourrissez, effectivement, de l'éther et des forces présentes au sein de la Lumière. Il n'y a pas nécessité d'ingérer quoi que ce soit. Néanmoins, au sein de votre Dimension, cette maîtrise du prana n'est pas une preuve d'Unité. Néanmoins, certains êtres, effectivement, n'ont plus besoin, réellement, en Unité, de manger, même au sein de cette Dimension. Mais faites attention de ne pas en faire une règle absolue. Vous pouvez être dans l'Unité et manger. Vous pouvez être dans l'Unité et faire l'Amour. Vous pouvez être dans l'Unité et ne plus faire l'Amour. Vous pouvez être dans l'Unité et ne plus avoir besoin de manger. La Vibration s'adapte. La Vibration va suivre, entre guillemets, vos besoins. Et vos besoins vont s'ajuster à la Vibration. Ainsi, certains besoins vont disparaître et d'autres ne disparaissent pas. Ainsi, il n'y a pas de règle absolue à ce niveau-là. Ce qui ne veut pas dire que tout être ayant réussi à vivre le prana est dans l'Unité. De la même façon que vous avez des gens boulimiques qui sont dans l'Unité.

Question : Y a-t-il beaucoup d'humains sur Terre qui ne se nourrissent que de prana ?
Cela se saurait, au niveau de votre Humanité. Vous en avez quelques uns. Certains ont maîtrisé, je dirais, le prana et les forces praniques et peuvent réellement se nourrir du prana, parce qu'ils ont maîtrisé certains critères au niveau de cette Dimension, ce qui n'est pas une preuve d'Unité. Rappelez-vous, vous pouvez avoir tous les pouvoirs du monde. Rappelez-vous ce que disait Saint Paul : « vous pouvez soulever les montagnes, vous pouvez avoir la foi à soulever les montagnes, vous pouvez communiquer avec les Anges, s'il vous manque l'Amour, s'il vous manque le Feu de l'Amour, vous n'êtes rien du tout ». Vous pouvez acquérir tous les pouvoirs au niveau de cette Dimension. Vous pouvez acquérir les pouvoirs de prémonition les plus justes et les plus authentiques, sans pour autant être en Unité. Justement, l'Unité n'a que faire de ces manifestations surnaturelles. L'Unité est un état d'être indépendant des manifestations extérieures, quelles qu'elles soient. Néanmoins, dans certains cas, l'Unité s'accompagne aussi de manifestations extérieures. Mais vous ne devez pas vous laisser abuser par des manifestations extérieures, quelles qu'elles soient. Ce n'est pas ça qui doit guider votre adhésion ou votre non adhésion. Encore une fois, je vous renvoie à vous-même. Ce qui doit guider votre adhésion, c'est votre capacité à vibrer au niveau du Cœur, ou pas, et rien d'autre. Tant que vous serez axés sur des reconnaissances extérieures, liées à des écrits, liées à des vécus, même les plus saints soient-ils, vous vous éloignerez de votre chemin. Certains êtres vous ont dit qu'à un moment donné il fallait tuer tous les modèles. Ce n'est qu'en tuant tous les modèles que vous deviendrez vous- mêmes. Tant que vous portez votre croyance à l'extérieur de vous, vous êtes adhérant à un modèle et donc vous êtes en état de servitude.

Question : quand on chemine vers l'Unité, transmettre ce que l'on vit éloigne de cette Unité ?
Bien aimé, bien évidemment, l'envie de communiquer ce que tu vis, de manière verbale, de manière écrite, ou de manière affective ou émotionnelle, est fort logique pour l'être humain. L'être humain est un animal communicant (au sein de cette Dimension, bien sûr, je ne fais pas référence à votre dimension stellaire). Au sein de cette Dimension, ce que vous vivez, vous avez envie de le communiquer. Le problème, c'est qu'en exprimant ce que vous vivez, vous sortez de l'Unité. L'Unité est quelque chose qui se communique par Radiation. Il vous suffit d'être en cet état de Présence pour que l'autre le capte. À partir du moment où vous voulez mettre des mots sur ce que vous avez vécu, ou ce que vous vivez, vous vous éloignez de ce que vous vivez, de manière inexorable. De la même façon, quand il vous est demandé de ne pas juger, que vous comprenez le sens du jugement, cela devient un apprentissage important, parce que vous voyez, parce que vous savez pertinemment que telle ou telle personne, que telle situation est totalement fausse mais, néanmoins, il ne vous appartient pas de la dénoncer parce que, si vous la dénoncez, vous retombez au niveau du niveau où vous dénoncez et donc vous vous éloignez, aussi sûrement, de l'Unité. La sortie de ce monde de dualité ne peut se faire que dans l'Être et dans la résonance de l'Être. Elle ne peut se faire qu'en vivant l'Unité, et en se contentant d'être les Transmetteurs de cette Lumière, ainsi que l'a dit l'Archange Mikaël, d'en être les Semeurs et les Essaimeurs. Cela ne nécessite pas des mots, cela nécessite une Vibration, ce qui n'est pas la même chose.

Question : est-il exact que les oiseaux seraient les descendants des dinosaures ?
Les oiseaux appartiennent à des Dimensions différentes, dirons-nous et à des lignées évolutives différentes de celles des dinosaures. Je vous rappelle que certains dinosaures ailés comme ceux que vous avez appelé certains oiseaux, n'étaient pas des oiseaux mais des mammifères. Et, pour certains, ils étaient des reptiles, là aussi. Il n'y a pas de corrélation ou d'adéquation possible entre des animaux couverts de poils ou couverts d'écailles et des animaux couverts de plumes. Les plumes se réfèrent immanquablement à des dimensions éthérées, cela n'a rien à voir. Question : pourriez-vous nous parler des Elohim et des Nephilim ? Oui. Cela est extrêmement précis. Les Elohim sont des Êtres de cristal appartenant à la 11ème Dimension et se rapprochant de leur statut de 18ème Dimension. Les Elohim sont des agents créateurs, ils sont ce qui a été appelé vulgairement les Dieux Créateurs ou des Maîtres généticiens aussi, pour certains. Néanmoins, ils participent à l'initialisation d'un cycle et d'une Création particulière. Les Nephilim sont des Êtres appartenant à des Dimensions totalement différentes. Ils n'appartiennent pas aux Dimensions des Êtres de cristal, ils viennent des Dimensions situées en relation avec Sirius et plutôt avec la 18ème Dimension. Les Nephilim sont des êtres pouvant prendre corps de chair. Ils ne sont pas ces êtres néfastes qui ont été décrits par les Écritures. Bien évidemment, la Bible a falsifié la totalité de ce qu'étaient les Nephilim. Les Nephilim étaient les grands Êtres de Lumière qui ont été appelés les Titans ou les Géants. Ce sont eux qui ont construit les Cercles de Feu des Anciens. Ce sont eux qui étaient en Vie sur Terre, à ce moment-là. Ils faisaient un certain nombre d'expériences de créations reliées à la Source, quand l'irruption des Dragons les a obligés à se retirer, afin de ne pas rentrer en dualité. Avant de se retirer, et par rapport à l'approche de ces Êtres venant de la Grande Ourse, ils ont été capables de créer un certain nombre de structures permettant, de par leur vision extrêmement étendue, de préparer le retour de la Lumière que vous vivez maintenant.

Question : à quelle date a eu lieu la Création par les Elohim ?
Le mot Création doit être pondéré, il ne s'agit pas d'une Création in extenso. Il s'agit d'un apport créatif au sein d'une Création existante, ce qui n'est pas la même chose. Les Elohim n'ont pas la capacité de créer un monde, en totalité. De la même façon que les généticiens de Sirius n'ont pas la capacité à créer un monde, en totalité. Le monde doit être sous-tendu par un certain nombre de forces, appelées éléments. Ces éléments sont sous-tendus, eux-mêmes, par les Hayoth Ha Kodesh ou Kerubim. Ainsi, pour créer un monde ou pour créer une Dimension, il convient qu'un certain nombre de savoirs, un certain nombre de Vibrations, un certain nombre de compétences soit associé. Les Elohim n'ont pas crée une Dimension, ils ont insufflé, au sein d'une Dimension, une dynamique particulière. Ils sont, néanmoins, appelés Dieux Créateurs. Les Nephilim eux-mêmes n'ont pas crée quelque chose mais ont développé une expérience qui a été créée par des Êtres avec lesquels ils étaient associés, dirons-nous et qui étaient les Êtres Delphinoïdes de Sirius, de 18ème Dimension. Les vrais créateurs maintenant, au niveau de cette Terre, sont ceux qui ont apporté les matrices cristallines, bien avant l'existence de ce que vous avez appelé les races humaines. Ces êtres qui ont apporté les mémoires cristallines et les résonances cristallines permettant de sous-tendre la Vie, dans les multiples Dimensions et dans les multiples directions au sein de ce système Solaire, appartenaient à des êtres qui sont à la limite de l'anthropomorphisme. Ils étaient les grands Dauphins cuivrés de Sirius mais d'un autre Sirius. Et cela se passait il y a 20 millions d'années. Question : la Conscience expérimente différents véhicules physiques, dans la 3ème dimension, jusqu'à passer au stade humanoïde. Il s'agit d'une Création des mauvais garçons ? Il existait avant, bien avant la venue des mauvais garçons ou des méchants garçons, au sein de cette densité, des formes de Vie humanoïdes, mais qui n'avaient pas l'aspect que vous avez aujourd'hui, puisque, bien évidemment, il y a 20 millions d'années, les Consciences incarnées sur des Dimensions extrêmement élevées, ayant apporté sur cette Terre (en fusion, quelque part, au niveau de certains états) la Conscience et les matrices cristallines (et non pas les matrices de Vie liées aux mauvais garçons), étaient des formes humanoïdes de nature Delphinoïdes. Ces Delphinoïdes étaient un croisement entre l'humain et le Dauphin. Ils se déplaçaient dans l'air et non pas dans l'eau, comme vous. La première venue, la précipitation au sein d'une forme humanoïde, a existé déjà, bien évidemment, avant l'épisode des mauvais garçons, puisque les Nephilim ont existé voilà 300 000 ans. Mais je ne vous ai pas précisé leur durée de préexistence au sein de cette Dimension. Il existe aujourd'hui des squelettes existant de géants, retrouvés en différents endroits de la planète et dont la datation pourrait montrer qu'ils existaient voilà des millions d'années. Néanmoins, tout en ayant cette forme humanoïde, ils n'étaient pas humains. Néanmoins, en ayant cette forme humanoïde, ils n'étaient pas dans les mêmes Dimensions que vous. Il convient aussi de comprendre que la plupart des Semences d'Étoiles incarnées aujourd'hui dans un corps humain, le sont depuis ce dernier cycle. Pour certains d'entre vous, certains sont là depuis plusieurs cycles. Cela remonte donc au maximum à 300 000 ans. Très précisément 320 000 ans.

Question : y a-t-il un lien entre la civilisation des Géants et les géants des îles Canaries ?
Totalement. Les Géants étaient répartis en différents endroits du monde. Ils vivaient en haut des sommets et proches des mers. Question : que vivent les schizophrènes. Sont-ils comme squattés ? N'importe quelle entité humaine peut être squattée à un moment donné de son existence. Néanmoins, je ne pense pas que la majorité des cas appelés schizophrénie relève de cela. Les schizophrènes ont un pied dans cette réalité et un pied, ou une partie de leur Conscience, en une autre réalité. Ce que vous appelez souffrance, vous, de l'extérieur, pour vous, n'est pas une souffrance pour eux puisqu'ils ont accès à des dimensions auxquelles vous n'avez pas accès. Ainsi, encore une fois, là aussi, tout dépend de ce que l'on appellera le point de vue. Votre point de vue est lié à l'absence de communication avec ces formes de Vie appelées schizophrènes. Néanmoins, ces formes de Vie ont leur utilité. De la même façon qu'un parent aurait un enfant appelé mongolien, vivrait une certaine forme de souffrance mais, néanmoins, au travers de cette souffrance, il y a résolution d'un certain nombre de choses, vécues aussi bien pour le parent que pour l'enfant. Néanmoins, ne considérez jamais, même un schizophrène ou un mongolien, comme inférieur à vous. Ils sont, le plus souvent, de loin, supérieurs à vous, au niveau Vibratoire. L'explication, en votre langage, est plurifactorielle. Il existe des facteurs génétiques. Il existe des facteurs multiples, qui interfèrent. Mais, en aucun cas, vous ne pouvez mêler des éléments de nature strictement entités, au sens où vous le parlez, ou le fait d'être squatté. Ceci n'est absolument pas la règle, et encore moins une obligation, ce qui n'exclut pas que, lors de certaines phases de délires, liées à certaines failles, puissent se manifester certaines entités. De la même façon que pour un médium.

Question : quelle est la prochaine évolution après le minéral le végétal, l'animal, l'humain ?
La prochaine étape n'est pas, contrairement à ce que vous croyez, le surhomme, parce que vous n'êtes pas encore des hommes, au sens humain, c'est pour ça que nous avons besoin d'un certain nombre de matériel génétique, afin que se révèle à vous, au sein d'une densité différente, certes (mais néanmoins d'une forme de corporéité particulière et biologique, encore), le vrai stade d'humain, c'est à dire celui de l'Humanité non dissociée et non coupée de la Source. Bien évidemment, l'évolution est constante, en générale, dans la Création. Quand je dis, en général, c'est qu'il existe des lignées que je qualifierais de stabilisées. Ainsi, les Archanges en font partie. Nous sommes les Gardiens de la 18ème Dimension. Nous assurons le va et vient des flux de Consciences et d'informations entre la Source et les autres Dimensions. Ainsi, nous devons rester à notre place. La Source, elle, peut parcourir l'ensemble des Dimensions. L'humain, quand il ne sera plus dissocié, pourra parcourir un certain nombre de Dimensions situées au delà de l'anthropomorphisme. La perte de l'anthropomorphisme signifie le passage à un niveau de Conscience qui est, pour le moment, au niveau de votre Conscience, inenvisageable, inapprochable, d'une manière ou d'une autre. L'évolution de l'Homme se fait, bien évidemment, vers l'Ange. L'Ange n'est pas nécessairement ce que vous croyez. Il existe de multiples variétés d'Anges au sein des Dimensions. Ainsi, l'exemple que je prendrais : ceux qui sont appelés les Anges du Seigneur, les Végaliens, ont des corps de troisième Dimension unifiée. Ils sont appelés les Anges du Seigneurs et pour autant croyez-vous qu'ils soient munis d'ailes ? Absolument pas. Ils ont un anthropomorphisme qui est très proche du votre, avec des mensurations profondément différentes. Les Anges ne sont pas nécessairement des Consciences ailées. Rappelez-vous aussi que, nous-mêmes, Archanges, au sein de notre Dimension, même si je peux me présenter comme je l'ai fait à celui que je garde et celui que je maintiens dans cet état Vibratoire, sous la forme anthropomorphique particulière, n'est pas la réalité de ce que je suis. Néanmoins, quand je descends, quand je manifeste ma Vibration au sein de la 5ème Dimension, je ne peux présenter la manifestation que j'ai au sein de ma dimension originelle. Ainsi, un Elohim, quand il s'est manifesté sur Terre et qu'il est descendu sur le plan Vibratoire, bien évidemment, le corps de cristal n'existait plus. Le corps de cristal a été parcouru de poussières et il s'est recouvert d'une peau. Il est redevenu corps humain et pourtant ce corps humain n'est pas passé par la génération habituelle. De la même façon, quand la Source prend corps et quand elle matérialise un corps, elle est obligée d'entraîner une certaine forme de gestation pour passer de sa Dimension ultime à la Dimension troisième. Et ce corps, pourtant, possède les attributs que vous avez tous en commun. Néanmoins, la Conscience qui l'habite n'a rien à voir avec votre Conscience. Et pourtant, c'est le même véhicule.

Nous partageons ces informations en toute transparence. Merci de faire de même, si vous les diffusez, en reproduisant l'intégralité du texte et en citant sa source : autresdimensions.info.

Etre humain ?

Crimes ou actions humanitaires ne sont que les deux faces (ou les deux actes) de la même pièce. On est toujours dans la même dualité : bien/mal. L'action humanitaire ou le crime ne font qu'alimenter l'opposé : la première alimente ce qu'elle croit combattre tandis que le second alimente la vie, la création.
Cela n'implique pas de ne rien faire, évidemment. Envisageons seulement qu'en croyant faire quelque chose, nous essayons simplement d'être humains...


Photo : https://reiki-forum.net/viewtopic.php?t=1911#p24675

21.2.16

Krishnamurti

« Vous êtes le monde, vous n’êtes pas séparés du monde. Vous n’êtes pas américain, russe, hindou ou musulman. A part les mots et les étiquettes, vous êtes le reste de l’humanité parce que votre conscience, vos réactions sont identiques à celles des autres. Vous parlez peut-être une autre langue, vous suivez des coutumes différentes, ceci est de la culture superficielle – toutes les cultures semblent assez superficielles – mais votre conscience, vos réactions, votre foi, vos croyances, vos idéologies, vos peurs, vos angoisses, votre solitude, votre souffrance et votre plaisir sont les mêmes que ceux du reste de l’humanité. Si vous changez, cela affectera l’ensemble de l’humanité. »

Photo : http://www.cles.com/enquetes/article/entretien-avec-krishnamurti

folie

En croyant éviter la folie, on nomme "fous" ceux qui nous renvoient à nous-mêmes.

Illustre maxime philosophique : "c'est celui qui dit qui y est !" :-P

Esprit - âme - matière


L'Esprit a ses raisons que la matière ne connaît point.

L'âme a ses raisons que la matière (l'âme à tiers) honore.

Esprit âme matière

Esprit ET matière,

Esprit aime matière

Esprit est matière.